Ces engins utilisés pour nettoyer les vitres et autre voirie sont d'importantes sources de nuisances en tout genre. Sonores d'abord. Polluantes ensuite. Car tandis que les agents nettoient le moteur tournoie. Enfin, tourne (tournoie c'était pour la rime). Je trouve ça sidérant. Tant de bruit, tant de pollution pour nettoyer des vitres ou le trottoir. Autant dire qu'au fur et à mesure que l'on nettoie l'endroit se resalit. Du coup, je pense, comme souvent d'ailleurs, qu'on marche sur la tête.
La grande dame s'en fiche, elle, elle n'a plus de tête,
avec tous ces nuages gris.
Une petite photo pour la route du week-end.
Non, ce n'est pas un pauvre arbre défunt, mais une jolie sculpture en bronze de l'italien Penone, appelée l'arbre aux voyelles, sise au jardin des Tuileries.
Sinon, je suis allée chez Verlet. Des tas d'années que je voulais y aller, mais n'osais. Un café réputé (torréfacteur) tout de bois fait, rue saint-Honoré, où l'on peut aussi boire du bon thé, se restaurer de mets salés (salades et tartes) et sucrés (aujourd'hui, roulé au pavot et crumble à la rhubarbe et autres fruits). A recommencer. Et à noter : le café du Panama est meilleur que celui de Birmanie.