/fdata%2F0440137%2Favatar-blog-2878477-tmpphpZCIxNk.jpeg){kind=avatar}
Après les meubles du musée des Arts Décoratifs, on est allés voir ceux d'un grand magasin devenu de luxe. Aussi joli, aussi cher (moins, sûrement, bien entendu, mais aux Arts Déco ils ont le bon goût de ne pas afficher les prix et de ne pas vendre aux visiteurs).
C'était beau, original, design.
A la parfumerie, un aquarium.
Le luminaire est nuageux, cotonneux, vaporeux, onirique, propice à la rêverie. Le rêve coûte cher...
Très cher (C'est solide ? Et comment ça se nettoie ?? Le blanc doit devenir gris à la longue...). 
Pour prendre son repos bien mérité sous de tels lustres il faut s'assoir dans un siège adapté.
Les fauteuils sont beaux et confortables dans l'ensemble, ergonomiques.
J'aime beaucoup celui-ci, pas Mari qui n'aime pas les "peaux de bêtes" (moi si justement).
Un fauteuil autour duquel on range ses livres. Un canapé "psychédélique".
Après avoir acheté 4 moulinés de fils DMC qui me manquaient pour terminer la broderie destinée à ma fille..., j'ai emmené Chichou impatient au rayon des jouets.
Maintenant je fais un tour (au grand dam du chichou !) dans le coin des poupées...
Et toujours je regarde les peluches ou assimilées (ma préférence allant aux déjantées !).
Puis aux Trois Hiboux, où les vieux jouets ont (comme aux Arts Déco) bonne presse,
ses grands-parents (ébaubis devant tant de luxe et de volupté) lui ont acheté une bande dessinée.
Il y a pléthore de jolis livres (on pourrait y passer un temps fou), dont celui-ci (pour les petits), clin d'oeil à Mab.
Et on a terminé à la Grande Epicerie, comme il se devait, pour l'achat du goûter. Me suis faite réprimander par le vendeur en boulangerie parce que je ne faisais pas la queue du bon côté. J'étais un peu marrie, car en général je fais attention à ce genre de choses (et râle même un peu contre ceux/celles qui n'y font pas attention...). Je lui ai dit pour m'excuser (eh oui le client n'est plus roi) que je ne venais plus trop souvent faire mes courses ici...
Une promenade dans les rues. Pour certains, qui ne regardent que leurs pieds (ou leur nombril) quand ils se promènent dans cette si belle ville, c'est de "la confiture aux cochons" ... J'aime bien cette expression, même si j'aime aussi les cochons, que j'ai, notamment par affinité avec leur façon de donner la tétée (à toute une mignonne marmaille affamée), cessé de manger.
Et finissons par une vue sur les toits de Paris (au loin Montmartre sous les nuages), qui peut, même par temps gris, faire envie *.
* Ce n'est pas chez moi, j'ai vue sur des murs.
