A l'école, depuis trois ans, ils se refusent, sous des prétextes fallacieux non explicitement exprimés, à faire faire aux enfants des cadeaux, matériels ou non, pour leurs mamans. Pauvres petits, qui ne demandent qu'à être gentils... Et pour les mamans, pétainistes ou non, comme c'est frustrant ! Quoiqu'on en entend, ici ou là, des "difficiles", se plaindre de (ne savoir que faire de) leurs colliers de nouilles... Au moins, on n'a pas ce problème !...
Donc, c'est Papy-Mamy, qui avaient la chance d'avoir Chichou chez eux samedi, qui s'y sont collés cette année. Et voici ce que Papy a confectionné pour mes papilles aiguisées :
Plus la peine, pendant quelques jours au moins, de courir les tartelettes aux fraises des boulangeries...
(Mais là, il faut que je rende le moule.)
Je ne vois pas pourquoi 28 (fois) "seulement"... Ah, c'est son chiffre préféré du moment.
Il manque des bouts au dessin, car, pour le scan, il était trop grand.
Et puis, finalement, quoi de plus idéal qu'un déjeuner en tête-à-tête entre mère et fils pour fêter l'événement ? C'est pas papa (parti jusqu'à cet après-midi) qui aurait fait ça, hein, hein ? * Me dit Chichou qui, après m'avoir aidée à nettoyer le balcon (pourvu qu'il ne repleuve pas bientôt), a mis la table, coupé les saucisses, servi la purée (c'est lui qui a choisi le menu), servi les tomates dans chaque assiette. Il préfèrera, en dessert, le raisin du Chili à la très bonne tarte de Papy.
* Alors que son papa est fin cuisinier et "poseur de couverts" rodé.
Et puis il y avait une brocante l'après-midi et à ces petites bêtes on ne résiste pas.