Le 1er arrondissement de Paris, aux abords de son palais réputé et visité, est un endroit grandement sécure. Derrière la verte palissade (qu'on espère temporaire), mon vélo est-il toujours là ? Oui ! C'est là qu'il aura passé la nuit. Car hier soir, l'orage, la tempête, le déluge mêlés qui se sont abattus sur nous, m'ont empêchée de détacher et d'enfoucher ma fidèle monture, sur laquelle je n'aurais eu fière allure..., pour rentrer.
Contraintes à regarder le cataclysme - les trombes d'eau se déverser, les gens courant, luttant contre les éléments, pluie et vent - derrière les fenêtres, retardant notre départ du bureau. Une demi-heure supplémentaire, qui n'est pas prête d'être payée (remarque, elle ne fut pas travaillée). Puis on a couru jusqu'aux bouches du métro.
J'ai retrouvé mon vélo, tout sec ouf, ce matin, ceci avant le prochain orage prévu cet après-midi de samedi...
Ce qui fait que cette semaine (avec la visite aux momies et mari), je serai allée 6 fois, jours sur mon lieu de travail au lieu de 4 habituellement. Ce n'est pas pour me plaindre, hein (mais quand même), c'est juste une remarque, comme quoi il est bon parfois de bousculer la routine...