17 février 2010
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20:30
La sortie du samedi, ce fut d'aller au 104. Le Centquatre de la rue Curial (dans le XIXème arrondissement de Paris). Ce lieu (de 39 000 m² !) dit de création et de production artistique. Qui abritait auparavant le Service Municipal des Pompes Funèbres de Paris...
Pour y aller en voiture, nous empruntons les boulevards des Maréchaux "version tramway" (encore en travaux de ce côté) c'est-à-dire embouteillés. En passant on jette (si possible) un oeil et on a toujours une pensée émue au/pour le chemin de fer désaffecté de la petite ceinture. Où la flore et la faune sont très en forme merci pour elles.Un bel espace, une belle rénovation architecturale. Ç'eût été dommage de détruire tout ça, vu le manque de beautés architecturales dans le coin.
A l'intérieur on s'est d'abord arrêtés à la librairie Le merle moqueur. Pas seulement parce que son nom est joli et que la librairie est agréable mais parce qu'on entre et s'arrête toujours dans les librairies, surtout celles un peu spacieuses (pour raison familiale et de poussette). Celle-là a des marches sur lesquelles on peut s'asseoir. Et Chichoute est une aficionada des marches en ce moment. Pas forcément pour s'y asseoir malheureusement.
En haut perchée, elle vérifiait si la fenêtre s'ouvrait ou non.
Après, se fiant au Télérama (il ne faut jamais se fier à Télérama), on est allés chez Emmaüs qui vient d'ouvrir en ce lieu. Des choses moches et chères (pour ce qu'elles sont, comme des boîtes de biscuits vides, bonnes à être jetées, et c'est quelqu'un qui n'en jette pas qui vous le dit !), à mon avis. Impossible de trouver des vêtements pour enfants, ils ne sont classés ni par âge ni par taille ni par sexe. C'est plus intéressant et souvent mieux présenté dans les vide-greniers. C'est pareil (ou pire) pour l'Emmaüs de ma ville.
Dolto serait sans doute étonnée de la reprise de son idée "designée" . La Maison des petits, comme ils l'appellent ici. Les maisons vertes étaient/sont loin d'avoir ce "look". Cette maison-ci se veut certes un espace de socialisation (avec donc des psychologues accueillant les enfants jusqu'à 6 ans avec leurs parents) mais aussi de sensibilisation à la création ; les enfants peuvent jouer mais aussi " lire (euh regarder des livres sans doute), dessiner, peindre, sculpter, et rêver " lit-on sur le "flyer".
On n'a pas trouvé le café branché, qui vendait les pâtisseries orientales "obligées" (toujours petites et hors de prix), et la manifestation culturelle d'envergure (On n'a pas trop pu (sa)voir de quoi il s'agissait.) était réservée à un public accrédité (de même d'ailleurs que la Maison des petits ce jour-ci !). Quant à l'art on n'a pas vu grand-chose, on n'a pas dû savoir chercher. De toutes manières, faut que j'aille au Louvre bientôt, j'en verrai, c'est sûr.
On a retrouvé les "vrais" habitants du quartier faisant la queue à la boucherie (sur l'avenue de Flandre) vendeuse de grosses quantités pour pas cher... Et on a acheté un poulet rôti bien moins cher qu'ailleurs. Mari-toujours-lui a dit que, pour être vendus à si bas prix, c'était des poulets trouvés morts qui rôtissaient là... Sûr qu'ils n'étaient pas bios, les pauvres, mais ils étaient bien cuits.
" Ça, c'est fait ! ", comme dirait Mari, pas toujours très partant pour "mes" sorties, mais content de son poulet rôti. Et du café pris au bistrot d'à côté.
Pour y aller en voiture, nous empruntons les boulevards des Maréchaux "version tramway" (encore en travaux de ce côté) c'est-à-dire embouteillés. En passant on jette (si possible) un oeil et on a toujours une pensée émue au/pour le chemin de fer désaffecté de la petite ceinture. Où la flore et la faune sont très en forme merci pour elles.Un bel espace, une belle rénovation architecturale. Ç'eût été dommage de détruire tout ça, vu le manque de beautés architecturales dans le coin.
A l'intérieur on s'est d'abord arrêtés à la librairie Le merle moqueur. Pas seulement parce que son nom est joli et que la librairie est agréable mais parce qu'on entre et s'arrête toujours dans les librairies, surtout celles un peu spacieuses (pour raison familiale et de poussette). Celle-là a des marches sur lesquelles on peut s'asseoir. Et Chichoute est une aficionada des marches en ce moment. Pas forcément pour s'y asseoir malheureusement.
En haut perchée, elle vérifiait si la fenêtre s'ouvrait ou non.
On y a passé un agréable moment.
Mari-qui-n'a-pas-toujours-tort dit qu'elle a la coiffure d'un Playmobil, heureusement qu'elle n'a pas les cheveux noirs.
Mari-qui-n'a-pas-toujours-tort dit qu'elle a la coiffure d'un Playmobil, heureusement qu'elle n'a pas les cheveux noirs.
Après, se fiant au Télérama (il ne faut jamais se fier à Télérama), on est allés chez Emmaüs qui vient d'ouvrir en ce lieu. Des choses moches et chères (pour ce qu'elles sont, comme des boîtes de biscuits vides, bonnes à être jetées, et c'est quelqu'un qui n'en jette pas qui vous le dit !), à mon avis. Impossible de trouver des vêtements pour enfants, ils ne sont classés ni par âge ni par taille ni par sexe. C'est plus intéressant et souvent mieux présenté dans les vide-greniers. C'est pareil (ou pire) pour l'Emmaüs de ma ville.
Dolto serait sans doute étonnée de la reprise de son idée "designée" . La Maison des petits, comme ils l'appellent ici. Les maisons vertes étaient/sont loin d'avoir ce "look". Cette maison-ci se veut certes un espace de socialisation (avec donc des psychologues accueillant les enfants jusqu'à 6 ans avec leurs parents) mais aussi de sensibilisation à la création ; les enfants peuvent jouer mais aussi " lire (euh regarder des livres sans doute), dessiner, peindre, sculpter, et rêver " lit-on sur le "flyer".
On n'a pas trouvé le café branché, qui vendait les pâtisseries orientales "obligées" (toujours petites et hors de prix), et la manifestation culturelle d'envergure (On n'a pas trop pu (sa)voir de quoi il s'agissait.) était réservée à un public accrédité (de même d'ailleurs que la Maison des petits ce jour-ci !). Quant à l'art on n'a pas vu grand-chose, on n'a pas dû savoir chercher. De toutes manières, faut que j'aille au Louvre bientôt, j'en verrai, c'est sûr.
On a retrouvé les "vrais" habitants du quartier faisant la queue à la boucherie (sur l'avenue de Flandre) vendeuse de grosses quantités pour pas cher... Et on a acheté un poulet rôti bien moins cher qu'ailleurs. Mari-toujours-lui a dit que, pour être vendus à si bas prix, c'était des poulets trouvés morts qui rôtissaient là... Sûr qu'ils n'étaient pas bios, les pauvres, mais ils étaient bien cuits.
" Ça, c'est fait ! ", comme dirait Mari, pas toujours très partant pour "mes" sorties, mais content de son poulet rôti. Et du café pris au bistrot d'à côté.